Innover, en toute sobriété | Rencontre avec Emmanuel PRUNEVIEILLE, Architecte Associé, CRR

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Publié le

18/03/2021
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NOVABUILD

CRR ECRITURES ARCHITECTURALES

MAITRE D'OEUVRE

ANGERS (49000)

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Témoignages

L’innovation a une place importante chez CRR, et cela aura à l’avenir une place encore plus centrale. Historiquement, quand on se plonge sur nos 30 dernières années, on peut retrouver de nombreux projets innovants dans bien des domaines, il y a de quoi être fier.
Emmanuel PRUNEVIEILLE, Architecte Associé, CRR
Nous avons vocation et l’envie de travailler avec d’autres partenaires, d’autres BET. Nous avons une vraie réflexion pour intégrer encore plus dans nos projets le développement durable et l’innovation. Les deux vont ensemble, sans aucun doute
Emmanuel PRUNEVIEILLE

Bonjour Emmanuel Prunevieille, comment allez-vous dans cette période de crise sanitaire, doublée d’un début de crise économique, sans oublier la crise climatique qui s’accentue ?

Bonjour Pierre-Yves.

Comment ça va ? C’est compliqué. Cela change au fil des jours. Le plus compliqué en ce moment, c’est l’humain, et le fait que la question sanitaire s’installe dans le temps long. Cela affecte le moral parfois de façon imperceptible, et il faut beaucoup de doigté aux équipes pour porter tout cela.

Ce miracle que l’on constate tous, cette faculté qu’à de l’Homme de s’adapter à tout, y compris au pessimisme, c’est formidable et inquiétant.

Pouvez-vous vous présenter, vos 3 points forts personnels et professionnels ?

Quand on parle de l’agence je n’ai pas de mal à donner nos points forts, mais parler de moi, est une autre histoire. Sans doute parce que nous sommes avant tout un collectif.

S’il fallait en trouver, je dirais l’adaptabilité, c’est d’ailleurs la qualité qu’on attend d’un architecte, on lui demande de s’adapter au programme, au maître d’ouvrage, à un territoire, à tout ce qui fait la particularité d’un projet unique.

Et puis travailler dans le détail tout en continuant à avoir une vision globale des choses est extrêmement important. Ne s’enfermer ni dans l’un, ni dans l’autre, mais les voir comme une complémentarité nécessaire.

Et enfin, aller de l’avant, mais de manière mesurée ; de l’innovation, mais dans la sobriété.

Pouvez-vous nous raconter comment avez-vous intégré CRR ?

CRR a plus de 30 ans. L’agence est dès le départ spécialisée dans la commande publique, avec 2 pôles très porteurs, l’enseignement et la santé.

Cette spécialisation a amené l'agence à sortir très vite de la Région Auvergne.

J’ai aujourd’hui 42 ans, et j’ai rejoint CRR il y a une vingtaine d’années.

Pendant mon parcours d’étudiant en architecture, j’avais fait des stages dans deux agences clermontoises, dont CRR. J’avais choisi ces agences car elles faisaient de l’hospitalier. Je voulais travailler dans la santé, pour être utile, je crois. Je voyais dans l’hospitalier et la santé un rôle sociétal, un don de soi qui va au-delà de ce que fait d’habitude l’architecte. De mon point de vue du moins.

Je suis naturellement entré chez CRR dès mon diplôme obtenu. On était à l’époque une vingtaine, nous sommes aujourd’hui plus de 80.

Nous sommes implantés à Clermont-Ferrand, à Lyon, à Paris et à Angers. Plus récemment, nous avons créé CRR INGENIERIE pour compléter nos compétences, pour associer encore plus l’architecture et l’ingénierie et pour insuffler plus d’innovation au sein de nos équipes.

Et puis je suis devenu associé. Ce qui correspond bien à ce que je souhaitais : être associé oui, mais au sein d’un collectif, et non pas architecte à mon compte.

Pouvez-vous présenter votre métier ?

Il y a deux manières d’aborder le métier d’architecte.

Il y a l’architecte homme-orchestre. C’est celui qui fait tout, il va avoir un poids sur toutes les prises de décision, même avec les BET. Il aura une paternité complète sur le projet.

Il y a aussi les architectes chef d’orchestre, ceux qui donnent la parole à chacun. A CRR, nous sommes plutôt sur ce modèle. Nous avons des compétences différentes, et nous cherchons constamment à les faire dialoguer les unes avec les autres.

Par exemple, à Angers, les architectes et les conducteurs de travaux sont sur le même plateau. Ils se parlent à toutes les phases des projets, dans l’objectif que tout le monde progresse ensemble.

Les différences dans l’équipe sont des forces.

CRR est une identité générale. Le nom de CRR d’ailleurs, a évolué récemment. Nous lui avons donné une signature, CRR « Écritures architecturales ». Autant d’écritures que d’identités composant CRR, que de projets, de maîtres d’ouvrage, de site, de territoires, etc...

Quel est votre rôle, votre contribution au sein de votre structure ?

Je ne suis pas très à l’aise avec cette question. Etant dans un collectif, j’ai beaucoup de mal avec le "JE"

Mais s’il fallait une réponse, de manière très objective, il y a bien entendu la gestion en binôme avec mon associé David MATAILLET de l’agence angevine. Et puis le développement de CRR sur le territoire du grand Ouest.

Et pour aller plus loin, Je vais reprendre l’image du chef d’orchestre. Je ne sais pas jouer du piano ou du saxo, mais je sais quand il faut en jouer.  Cela m’amène à aller parfois dans le détail sur une opération, et j’aide aussi à apporter aussi la vision globale dont je parlais au début. J’accompagne les personnes et les projets pour que tout se passe pour le mieux.

Cela reste toujours un peu mystérieux vu de l’extérieur, le fonctionnement d’agences avec de nombreux associés. Est-ce que vous pouvez décrire pour nous comment cela fonctionne entre vous 9 associés ?

C’est effectivement une étrange alchimie.

Il y a les spécialisations qui ont émergées au fil des ans et des expériences. Dans mon cas, le sanitaire et le médico-social. Et puis l’intervention sur un territoire géographique. Le grand Ouest, Paris, etc...

Enfin, des fonctions transverses comme la gestion financière, ou celle de l’agence d’Angers qui est également une partie de mon activité. Finalement, le rôle de chacun émerge naturellement et, s’il est important de faire des points réguliers pour réinterroger ces rôles, ils se dessinent naturellement.

Quelle est la ou les cible(s), les marchés, de CRR ?

Parler de cible ou de marché est toujours compliqué dans notre profession.

Nous avons toute une série de savoir-faire : dans le sanitaire, le médico-social, l’enseignement, les équipements sportifs, les logements, le tertiaire.

Lycée d’enseignement général et technique d’AIZENAY (85) - Maître d’ouvrage : Conseil Régional des Pays de la Loire - MOE : CRR Architecture (architecte mandataire)

Notre projet de développement ou nos cibles, pourraient être de désormais transposer ce savoir-faire vers la commande privée et vers un nouveau type de rapport au projet. A sa gestation, au relationnel différent que nous avons avec nos maîtrises d’ouvrage, à des temporalités également différentes.

Qu’est-ce qui vous différencie de vos concurrents ?

Question difficile. Je pourrais sortir toute une série de qualités ou de généralités dans lesquelles pas mal de nos confrères pourraient se retrouver.

Je ne parlais pas de ce qui nous différencie mais des domaines dans lesquels nous essayons de pousser les curseurs afin que l’on nous identifie pour ces compétences. Et elles sont assez simples : rassurer, innover, accompagner, mais dans la sobriété.

CRR dispose d'une ingéniérie intégrée tournée vers l'innovation, une faculté à nouer des relations de confiance avec les maîtres d'ouvrages et une envie de transition rapide vers un monde bas carbone.

Quelles sont les 2-3 réalisations dont vous êtes le plus fier ces 5 dernières années ?

Je parlerais ici bien entendu de réalisations collectives.

Spontanément j’ai envie d’évoquer le Lycée d’Aizenay, réalisé en ossature bois avec une isolation paille. Le projet date d’il y a 3 ans, et il très intéressant de voir comment en trois ans, la filière paille s’est structurée au point de faire de l’isolation paille un process désormais accepté par l’ensemble de la filière du bâtiment. Il a été passionnant pour nous d’accompagner la structuration de la filière paille en Vendée, rencontrer les agriculteurs, sortir des schémas habituels.

Lycée de l’agglomération clermontoise à CLERMONT-FERRAND (63) - Maître d’ouvrage : Région Auvergne-Rhône-Alpes - MOE : Eiffage Construction Auvergne (mandataire), CRR Architecture (architecte)

Plus récemment, il y a le Lycée du Quartier Saint-Jean à Clermont-Ferrand que nous réalisons avec Eiffage en conception-réalisation. C’est aussi un Lycée bois-paille. Il vise un E4C2, avec 207 kg de matériaux biosourcés au m2, proportion rarement atteinte.

Et puis, il y a l'ICO Paul Papin à Angers, l’institut de Cancérologie de l’Ouest. Parce que c’est à Angers, ma région d’adoption et puis pour les raisons citées au début de notre entretien. Le sentiment d’avoir été utile. On l’est sur chaque projet, mas certains touchent plus que d’autres selon notre vécu.

Quelle place accordez-vous à l’innovation et à la R&D ?

L’innovation a une place importante chez CRR, et cela aura à l’avenir une place encore plus centrale. Historiquement, quand on se plonge sur nos 30 dernières années, on peut retrouver de nombreux projets innovants dans bien des domaines, il y a de quoi être fier.

On lance régulièrement de la R&D dans les projets et les concours.

Institut de Cancérologie de l’Ouest Paul Papin au CHU d’ANGERS (49) - Maître d’ouvrage : CRLCC d'Angers - MOE : CRR Architecture (architecte mandataire)

Pour aller plus loin, nous avons vocation et l’envie de travailler avec d’autres partenaires, d’autres BET. Nous avons une vraie réflexion pour intégrer encore plus dans nos projets le développement durable et l’innovation. Les deux vont ensemble, sans aucun doute, car aller sur les thématiques de la sobriété et du Low Tech demande d’innover et de se remettre en cause.

On a envie que l’innovation dans la sobriété emmène tous nos collaborateurs. Nous sommes persuadés que parler de Low-Tech, ce n’est pas revenir au Moyen Âge, c’est innover avec le bon sens, la simplicité, le geste juste. Ce sera encore plus demain le cœur de l’agence et de l’échange entre les compétences que nous avons à mettre en place.

CRR intègre-t-elle une démarche d’atténuation, d’adaptation, de transformation, face aux dérèglements climatiques ?

Vouloir intégrer la dimension carbone, ou la résilience, demande un volontarisme de tous les moments.

Pour faire avancer les projets sur ces questions, nous utilisons deux biais.

D’une part, nous allons échanger en amont avec des maîtres d’ouvrage pour parler des ambitions de leurs futurs programmes. Nous leur ouvrons le champ des possibles.

D’autre part, une fois les programmes sortis, nous allons prendre un soin particulier à concevoir le projet selon des principes simples, même quand la dimension environnementale n’est pas explicitement évoquée : avoir une réflexion sur la ventilation, l’orientation du bâtiment, l’inertie des parois, etc… des choses très simples et peu coûteuses.

Nous pouvons chercher à emmener un maître d’ouvrage à réaliser un bâtiment compact, sobre, et l’amener à investir dans le paysage ce qu’il a économisé par ailleurs, etc...

Ce qui est intéressant avec ces démarches, c’est qu’elles contribuent à notre optimisme, mais il faut sans arrêt stimuler tout cela. Nous avons en interne de belles ressources pour enchanter le quotidien.

Lycée de l’agglomération clermontoise à CLERMONT-FERRAND (63) - Maître d’ouvrage : Région Auvergne-Rhône-Alpes - MOE : Eiffage Construction Auvergne (mandataire), CRR Architecture (architecte)

Je crois beaucoup à la responsabilisation de tous, du commanditaire, mais aussi du futur utilisateur. A la nôtre bien entendu.

Je fais la guerre à 2 choses, d’une part à tous ces chiffres autour des gaz à effets de serre. On s’y perd. Qui pèse le plus entre le transport et le bâtiment ? Suivant les lectures, on tombe sur des chiffres différents. On pense avoir compris, et à la fin on laisse tomber. Et la deuxième, c’est la déresponsabilisation. Elle n’est pas la meilleure voie pour réussir la transition climatique.

Pourriez-vous nous faire part d’engagements que vous avez pris personnellement, ou en tant que dirigeant d’entreprise, en faveur des questions climatiques ?

Quand nous avons acheté nos bureaux à Angers, nous avons opté pour un lot dans un immeuble en construction, et avons fait des choix d’aménagement très performants tant sur le plan énergétique que sur le second œuvre, les finitions : peinture aux algues, bois massif, lino, fibre de bois, moquette en fil de pèche recyclé. Nous ne sommes pas dans un manifeste environnemental, mais simplement dans des exemples simples de ce que chacun peut faire. Ce n’est pas un projet phare et exemplaire, mais un exemple simple à mettre en œuvre.

A titre personnel, j’ai deux enfants, de 10 et 13 ans, et on est vite rappelé à l’ordre !

Je dois vous le dire, pour moi ce n’est pas naturel de venir au travail à vélo. C’est un effort. Comme pour beaucoup de gens de ma génération, ces efforts sont réels. Encore une fois je suis admiratif de ceux pour qui cela est naturel. Mais le prix de l’effort a du sens.

Chacune des idées que nous mettons dans nos projets et qui font en sorte de pousser l’ensemble du secteur du bâtiment dans ce cercle vertueux que nous voulons participer à faire progresser, a pour moi une signification extrêmement importante, justement parce que j’ai conscience des efforts que nous faisons et que nous demandons aux autres. Les injonctions à changer, les discours de peur porter par certains pour qui ces changements sont naturels, ne convaincront jamais ceux pour qui ils semblent insurmontables.  Je ne peux donc pas, dans nos projets, culpabiliser les gens. Cette conscience de l'effort qu’est le changement de nos habitudes de vie, imprime nos projets, les rends plus accessibles, plus ancrés dans leur temps. Et par la même plus opérationnels dans leur dimension environnementale acceptée et acceptable.

Quelle vision portez-vous sur l’avenir du bâtiment, de la ville, des aménagements ? Les tendances émergentes qui vont se généraliser ?

Je ne parlerais pas de tendance mais de nécessité, de ce qui devient inéluctable. La fin de l’artificialisation des sols devient en ce sens, une constante à laquelle nous allons devoir nous habituer. Les collectivités qui détiennent le foncier en ont de plus en plus conscience. La réhabilitation a le vent en poupe. On sort de la phase des lycées et des collèges neufs par exemple, et on va vers plus de réhabilitation. Et ces sujets sont passionnants !

Halle de sports Sport’Co à BEAUCOUZE (49) - Prix de la construction bois des Pays de la Loire 2020 - Maître d'Ouvrage : Ville de Beaucouzé - MOE : CRR Architecture (architecte mandataire)

Je suis impressionné depuis 2-3 ans de voir à quel point des sujets comme la construction ossature bois se sont imposés, l’isolation paille n’est même plus quelque chose d’original !

L’innovation dans les bio sourcés va extrêmement vite, poussée par les législations et les programmations volontaristes.

Cela nous stimule à être encore plus innovants dans ces sujets. On ne peut plus en rester à des modes constructifs identiques de projets en projets. Cela fait du mal au début de changer. Mais une fois que le pli est pris, on a plaisir à se challenger les uns et les autres.

Il y a beaucoup d’échanges entre confrères, quand on va à Novabuild, à Atlanbois, il y a de l’échange et de la stimulation pour avancer ensemble.

Une question maintenant sur votre territoire. Quel est votre port d’attache ? est-ce que vous pouvez décrire votre relation à ce territoire ? ce qu’il vous apporte ? Ce que vous lui apportez ?

CRR, ce sont avant tout des agences dans des territoires. Nous sommes ancrés dans nos territoires. Le territoire est notre essence.

Je suis berrichon. Mes études m’ont amené en Auvergne. Avec mon associé, nous avons tous les deux emménagé à Angers. C’est une déclaration d’amour à l’Ouest. Nous ne sommes pas là pour rien.

Quand on lit un article de presse comme il y a quelques jours qui évoque « l’agence angevine CRR » on se dit qu’on a réussi !

Auprès de qui ou de quoi allez-vous puisez votre énergie quand vous en avez besoin (familier, ami, musicien, artiste, romancier, ville, lieu secret, etc.) ?

Ma famille bien entendu, mes amis, de manière indéniable, et puis l’eau.

Je vais souvent au bord de la Loire.

J’ai vécu à Clermont-Ferrand, et je ressens la différence des territoires. Au calme serein et taiseux des paysages auvergnats, s’est substitué le calme en mouvement du fleuve.

Nous avons sur le territoire angevin un fleuve et quatre rivières.

Une rivière, c’est le flux et la permanence. C’est Héraclite qui disait qu’on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. L’impermanence dans la permanence.

Et puisque l’on parle d'énergie, je dirais qu’ici, il y a Jihen JALLOULI, ingénieure en développement durable au sein de l’agence d’Angers. Elle participe aussi activement à NOVABUILD. Elle nous bouscule. A sa manière elle nous donne une certaine forme d’énergie positive !

Pouvez-vous évoquer pour nous votre plus bel accomplissement professionnel ?

C’est le choix d’être venu à Angers. D’avoir choisi un territoire. Une aventure personnelle avant tout, mais qui se prolonge de manière indéniable sur mon travail.

Nous sommes une quinzaine ici. On s’appuie sur un groupe de 80 personnes, mais nous gardons l’agilité d’une petite entité, un territoire au cœur des territoires, une agence vivant en réseaux avec ses sœurs.

Et le pas-de-côté que vous n’avez pas encore fait, et que vous aimeriez faire ?

La démarche environnementale devient opérationnelle dans beaucoup de typologie de projets. Le logement, l’enseignement, les équipements sportifs. Nous arrivons également à travailler ces sujets en médico-social avec des maîtrises d’ouvrage à l’écoute et parfois même, proactives.

Dans les équipements sanitaires le sujet est plus délicat. Les contraintes fonctionnelles passent à juste titre au premier plan. Pour autant, ces idées, ces impératifs environnementaux s’imposent à tous et nous travaillons au côté de nos maîtres d’ouvrage, pour concevoir des équipements de santé au cœur duquel le soin tienne sa place, au même titre que l’humain, le fonctionnel, l’architecture et l’environnement. 

Vous êtes membre de Novabuild, quels bénéfices en retirez-vous ?

Le principal bénéfice de mon adhésion à NOVABUILD, c’est d’être nourri en permanence, le site, les documents auxquels nous avons accès, les rencontres.

NOVABUILD, c’est cette stimulation permanente, c’est être sans arrêt tiré vers le haut. Cela permet de redonner de l’optimisme à l’équipe. Cela rejoint la stimulation de l’époque où nous étions étudiants. Avec NOVABUILD, on retrouve les rêves qu’on avait mis de côté.

Et en plus, on voit que ce ne sont pas que des projets emblématiques qui émergent, ce sont des projets ancrés dans le réel. Avec NOVABUILD, on a des débuts de réponses, et au moins, on se pose les bonnes questions ensemble.

Je vous remercie d’avoir bien voulu répondre à nos questions.

Propos recueillis par Pierre-Yves Legrand, directeur de Novabuild, le 10 mars 2021.

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